La trilogie des périls
est la seconde partie du cycle de fantasy La pierre sacrée perdue
de David et Leight Eddings.
(Note : je n'ai malheureusement pas lu la trilogie des joyaux
, qui est la première partie du cycle. Je ne pourrais donc pas parler de La trilogie des périls
vis à vis de la première trilogie. Il est à noter cependant que malgré les liens que je suppose exister entre ces deux séries, il est tout à fait possible de commencer, comme moi, par la seconde.)
La trilogie des périls
, comme son nom l'indique, est formée des trois tomes suivants :
Les dômes de feu
;Ceux-qui-brillent
;La cité occulte
.
L'intrigue se déroule dans un monde fantasy dirigé sur chaque continent par diverses puissance : la Hiérocratie en Eosie, une puissant église monothéiste qui administre plusieurs royaumes, et l'Empire Tamoul en Darésie.
Cependant, sur ces deux continents, des troubles aux étranges similitudes surviennent : des héros de l'antiquité reviennent d'entre les morts, et se mettent à exciter les peuples contre la noblesse. L'empereur Tamoul fait, sur conseil de ses conseillers, appel à Emouchet, un chevalier de l'Eglise de l'Eosie, qui a déjà une certaine expérience des phénomènes hors de l'ordinaire, puisqu'il a déjà détruit un dieu (il semblerai que ce soit dans la trilogie précente). Emouchet ira en Tamoulie avec un groupe de compagnions, et sa femme, la Reine d'Elénie (un royaume de l'Eosie) ainsi que leur fille, en qui s'est réincarnée la Déesse-Enfant Aphraël...
Mais rapidement les troubles vont faire apparaître un complot à bien plus grande échelle où sont impliqués des hommes, des magiciens, des dieux, et même plus encore...
Si vous connaissez les cycle de la grande guerre des Dieux
(la Belgariade
), il s'agit du même style de romans : les héros sont sans cesse en train de voyager dans tous les coins de leur monde, les dialogues sont très vifs et humoristiques, mais contrairement à la Belgariade
, La trilogie des périls
évite les nombreuses répétitions dans l'action dus à la longueur de la Belgariade
.
Cette série est agréable à lire, mais bien qu'étant plus originale que la Belgariade
, elle ne renouvelle pas non plus la fantasy...