Couverture de Comte Zéro

Critique établie le 3 mars 2008 par Thesa.

Comte Zéro est un roman de science-fiction de William Gibson. Il fait suite au très célèbre Neuromancien, roman fondateur du mouvement cyberpunk.

Retour dans l'univers de Neuromancien. Sa matrice, ce gigantesque réseau informatique, dans lequel on peut se connecter comme dans un univers réel, y vivre, et y mourir. Ses personnages, hackers, mafieux, tueurs à gages survivant au milieu d'un univers noir, rongé par les affres de l'économie mondialisé.

Bobby est un pirate informatique. Un débutant. Surnommé Comte Zéro. Qui vient de se rendre compte que l'affaire dans laquelle il s'est engagé tourne mal.

Marly, une responsable d'une galerie d'art en faillite, est engagée par Virek, un richissime cadavre maintenue en vie grâce à des techniques médicales de pointes, pour retrouver la trace de mystérieux coffrets.

Turner est un mercenaire engagé pour faire sortir Mitchell, l'inventeur des biopuces, de son entreprise actuelle qu'il a décidé de trahir.

Et tous se retrouvent embarqués dans une histoire dont ils ignorent les tenants et les aboutissants. Une sombre histoire où s'emmêlent trafics, piratages informatiques et domination du monde...

Couverture de Mona Lisa s'éclate

Critique établie le 3 mars 2008 par Thesa.

Mona Lisa s'éclate, de William Gibson est la suite de Neuromancien, et de Comte Zéro

Une nouvelle macroforme est apparue dans le Conurb : l'aleph. Un gigantesque empilement de biopuces capables de reconstituer tous les savoirs, toutes les données de l'univers. Un fantastique instrument de pouvoir !

Tous les pirates de cyberspace sont à sa recherche. Mais qui le détient réellement ? Bobby, un génie du logiciel ? Dame 3Jane, l'héritière clonée de l'empire Tessier-Ashpool ? Ou Angie, vedette de cinéma, fille du savant Mitchell, le célèbre créateur des biopuces ?

L'enjeu est de taille ! Ils l'ignorent encore mais celui qui, au risque de sa vie, saura se rendre maître de l'aleph possèdera les clés d'un monde nouveau, un monde au-delà de l'humanité...

Quatrième de couverture

Si ces deux romans ne parviennent pas se comparer à Neuromancien, ils restent deux exemplaires distrayants du genre Cyberpunk. Avis aux amateurs !