La nuit du prédateur
est un roman de fantasy urbaine co-écrit par Steven Brust et Megan Lindholm.
Le Gitan. Il croit se souvenir que son nom est Cigâny. Il marche dans la ville de Lakota, et essayant de se souvenir de la raison de sa présence. Il sait qu'il a une mission. Il sait qu'il doit se souvenir de ce qu'est cette mission.
Stepovitch. Flic désabusé, divorcé, devant faire équipe avec un jeune insupportable, surtout après le départ à la retraite de son ancien coéquipier. Il est sur une affaire de meurtre. La description du suspect est celle du Gitan. Mais Stepovitch sait que ce n'est pas lui. Il le sent.
Et progressivement, les autres personnages entre en jeux. La Jeune fille, Laurie, fille de Stepovitch. Le Cocher, conducteur de calèche ou alcoolique, c'est selon. La vieille dame, voyante de métier. Et la Belle Dame.
La Belle Dame, celle-là même qui est en train de prendre le contrôle de ce monde. La Belle Dame, celle-là même que Cigâny s'est juré de repousser dans son monde. Il ne le sait pas encore. Mais quand les frères du Gitan arrivent, menés par le Cocher, le combat peut commencer. Les forces du Gitan, dans la ville de Lakota, en 1989 et celles de la Belle Dame, dans le Monde d'en bas, se préparent à la bataille.
Rien de tout ceci n'est réel.
Et c'est bien là le pire.
Les choses réelles ont une fin, quelque part, un jour ou l'autre.
Un roman de fantasy urbaine, orchestré façon tragédie classique. Des paroles de chansons mêlées aux combats magiques. Des personnages vivants, avec leurs passés, leurs histoires, leurs peines. Un livre captivant, une ambiance particulière et réussie, et un air de réalisme derrière le tout, on en attendait pas moins des auteurs d'Agyar
et du Dernier Magicien
.